De l'impossibilité de s'exprimer sur l'affaire Seznec...

Dans mon dernier article j'écrivais le constat que je faisais avec des amis tout récemment. La réplique n'a pas tardé. Complètement diffamatoire. 

J'écris sur mon autre blog des articles à l'occasion du centenaire. La plupart du temps je les écris plusieurs jours à l'avance. Actuellement j'en ai 4, déjà rédigés et programmés sur Overblog pour être publiés aux dates anniversaires. C'est dire que ce ne sont pas des copies de ceux de celle qui m'accuse de plagiat. 

Mes sources sont, en plus de Wikipedia, Gallica, et les ouvrages d'auteurs, le site officiel de Denis Langlois, le blog de Marc de Ryez qui est très documenté.

Lorsque l'on veut reconstituer le calendrier des évènements entre le 25 mai et le 28 juin 1923, nous devons nous tourner vers une source incontournable,  à savoir la primo enquête de Jean Pouliquen. Et tout comme notre blogueuse qui fait semblant de s'en étonner, je m'y réfère pour mon calendrier du centenaire 

Lorsque je suis chez moi je peux recopier la primo- enquête de Jean Pouliquen à partir du livre de Bernez Rouz. Lorsque je n'ai pas ce livre sous la main la facilité est de copier-coller des passages du texte que Marc du Ryez a mis à notre disposition en prenant la peine de le retranscrire sur son blog.

Il ne me l'a jamais reproché. Mais notre blogueuse, si. Elle fait de même. Mais moi je n'ai pas le droit !!!

Je connais le blog de Seznek " affaire Seznec revisitée " depuis bien longtemps. Je l'ai relu récemment et deux points m'ont interpellée : la journée du 3 juin et l'emploi du temps de Marie-Jeanne,  et un article sur le bureau de poste N°3 qui se voulait une mise au point en réponse à un de mes articles et à celui de Bertrand. Vilain. J'ai récemment repris cette réponse pour poser une question : qui est le plus fiable : le commissaire Camard ou l'avocat général Launay ? Et voilà que notre blogueuse m'accuse de reprendre ses articles et de lui emboîter le pas. Elle est vraiment le centre du monde et ne me laisse aucun droit à ma propre réflexion qu' elle évalue d'ailleurs au niveau de celle d'un protozoaire 

 Je dirais bien que je me fiche de ce qu'elle pense. Mais ayant un métier public je ne me fiche pas de ce qu'elle écrit. 

Je n'écris plus d'articles de fond sur ce blog "affaire Seznec discussion " puisque cette blogueuse ne supporte pas que l'on discute de ce qu'elle pond.

 Mais je suis obligée d'intervenir pour me justifier puisque je suis continuellement mise au pilori.